Dans l'air léger du matin, le temps souriait, joyeux dans son ciel et ses beauté célestes. phébus caressait la vallée qui s'éveillait dans la lumière languide aux douceurs agrestes, l'inondant de senteurs aux parfums bucoliques. c'était un nouveau jour et un nouveau printemps qui naissaient ensemble en cette heure poétique. la brise amoure

J’aurais aimé être goélette royale sillonner toutes les mers et les océans puis être célèbre, et rester dans les annales pour mes batailles remportées sous tous les vents toutes voiles dehors , tous mes canons chargés, combattre les pirates, chercher des trésors, fière de ma coque, et de pouvoir affronter ainsi toutes les tempêtes, du

Le village s'éveillait soumis ce matin aux vibrations enjouées du clocher sonore. le ciel s'éclaircissait à l'horizon serein, sortant du berceau encor sombre de l'aurore. puis la lumière nue des clartés angéliques, paraissait libre d'obscurité, de néant, et tout surgissait dans les clameurs idylliques, donnant naissance à ce nouveau jour

Des ruisseaux chantonnaient traversant les sous-bois, où gazouillaient déjà des oiseaux à l'aurore. le ciel encore brumeux, caressait les toits, en espérant que bientôt le soleil le dore. un vent tout ému flirtait avec les collines, puis traversait le temps par monts et par vaux, exhalant ses parfums de thym et d'aubépine, quand un torrent

C'est aux confins du soir que tu es la plus belle. quand la lune se lève et brille dans le noir. alors je t'admire car tu es vraiment celle que je veux aimer, guérissant mon désespoir.. tu es mon étoile et mon ciel, ma galaxie, mon île déserte au milieu de l'océan où je peux m'exiler quand je suis en survie, penser à ta beauté, à tes bra

Dans la chambre, sur son lit aux draps doux et roses, elle a couché ses jolies formes ingénues. souriante et ensorceleuse, elle repose, exposant à mon regard, sa tendre chair nue. ses yeux de tendresse, ont la douceur du printemps. leur couleur reflète les vagues océanes. ses lèvres charnues, murmurent des mots ardents, qui appellent au dési

Le ciel auroral, sort de l'ombre évanescente, et fuyant l'hiver, il est tout triste encor. toi tu étires tes formes affriolantes, t'éveillant de rêves d'amour multicolor. puis le jour se pâme aux clartés nues de ta chair, comme sur le galbe de marbre des statues. et le soleil qui s'est levé caresse l'air et les arbres tristes aux branches d

Deux amants vivaient désirs, sexe mais l’un deux s’emmerdait à mort voulait plus lui bouffer le triplex s’est cassé l’matin à l’aurore se sentant l’cul abandonné pleura les larmes de son corps puis resta les cuisses fermées ça sera ainsi jusqu’à ma mort il ne faut pas rester prostrée lui dit un jour une bonne copine tu vas pr

Ton regard bleu de mer coule sur mon rivage. dans le ciel de tes yeux où je vois des reflets, passe ton amour caressant mon paysage, où je t'attends chaque nuit pour t'aimer à jamais. ta peau a le parfum angélique d'un rêve sortant d'une nuit tout étoilée d'amour. to corps aux cris de feu me brûle et me soulève, vers le firmament, du soir

C'était en hiver, le ciel frémissait d'étoiles. la lune était glacée en son berceau brumeux. l'aube recouvrait la nature de ses voiles, avant que n'apparaisse un soleil paresseux. dans la nuit le toit des maisons avait blanchi. l'eau du bassin de la fontaine était gelée. on allumait le feu dès le lever du lit en remettant du bois sec dans l